La parenthèse de l’accident :
Être acteur dans sa sécurité et sa survie
Au moment de l’accident, en l’espace d’une seconde, tout bascule. On rentre dans ce qu’on peut appeler : la Parenthèse de l’accident© où toutes les perceptions sont différentes (notamment le temps y semble très long).
Notre cerveau fait appel à 3 zones qui travaillent toujours ensemble :
Le cerveau reptilien, le cerveau émotionnel et le cerveau rationnel.
- – Le Rationnel: Gestion du quotidien – des horaires – raisonnement logique…
- – L’émotionnel: Gestion des émotions – de la mémoire …
- – Le Reptilien: Notre directeur de la survie (Gestion des besoins primaires / physiologiques / directeur de la Survie qui analyse des milliers de données/seconde jour et nuit pour assurer notre sécurité)
Le cerveau reptilien est le directeur de notre sécurité et de notre survie.
Il n’a que trois capacités :
1 – attaquer le problème,
2 – le fuir,
3 – être paralysé.
Par conséquent, il doit être actif pour nous maintenir en vie.
Quel que soit notre entrainement, notre préparation et notre matériel, au moment de l’accident, le conflit va se jouer entre nos cerveaux.
Face au stress, les zones émotionnelle et rationnelle génèrent panique, doutes, désespoir, ce qui bloque le cerveau reptilien. Si le cerveau reptilien est paralysé, l’instinct de survie ne s’enclenche pas.
Parce que chaque seconde de gagnée est une victoire sur la situation ©
